Sur le parking au bord du fleuve, y avait des bus et des bus et on en attendait encore. Personne ne savait ce qu’étaient devenus les voyageurs mais on les soupçonnait d’avoir filé en douce. Ni vus ni connus
A la nuit noire on comprit enfin, en les voyant les uns après les autres émerger de l’eau. Nous dûmes les y repousser avec tout ce qu’on avait sous la main. Au petit matin tout était redevenu calme. Les bus purent repartir aussi pleins qu’il étaient arrivés.
Nous attendons les suivants, ils ne vont pas tarder.