Giacometti perché dans les griffes des hommes Pantin de bois dansant dans la bouche du vent Le fer blesse mes mots sur les coups devinés Mais je dresse mon âme vers l’azur entrouvert Et libre tellement d’exister à l’envers Parce que je suis vivant de toutes vos erreurs Et que le temps, jamais ne me sera compté Il m’a déjà usé…