C’est toujours pareil avec toi. Quand tu appelles, on ne sait jamais au sommet de quel escalier tu te trouves. Et des escaliers, il y en a trop. Beaucoup trop! Ce matin, j’ai tenté trois fois ma chance mais ça suffit. Ce n’est pas que je m’essouffle, non, j’ai de bons poumons. En partie grâce à toi, d’ailleurs. Mais je me lasse, vois-tu. Je ne sais plus comment faire pour t’atteindre. Alors, arrête de m’appeler, tu me rends folle. Si vraiment tu veux me parler, prends n’importe lequel de ces satanés escaliers et descends. Je ne vois pas d’autre solution.