Jorge Luis Borges a aussi écrit des poèmes sentimentaux, pour preuve ce petit extrait provenant d’une de ses élégies.
Juan Maglio avait pour surnom « Pazzo » (« Fou » en italien) qui devint « Pacho », plus facile à prononcer par les argentins. Dès le début des années 1900, il a enregistré sous le label Columbia une foule de tangos au bandonéon solo ou en orchestre. Il composa lui-même une trentaine de morceaux dont ce « Tango argentino » choisi par Deylan : « difficile d’évoquer Buenos Aires sans y faire flotter un air de tango ».
Cette réalisation a fait l’objet d’un « making of » publié dans la e-revue El Café Latino
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