Maria Eugênia Celso, fille d’un comte-écrivain célèbre, sut profiter de sa gouvernante française pour exprimer ses sentiments poétiques dans cette langue qui nous est bien familière.

François Couperin, quant à lui, avait appris, grâce à son musicien de père, à maîtriser la musique avant notre langue. La postérité, fort heureusement, ne lui en tint pas rigueur.

Le suédois Alexander Roslin sut faire profiter les cours d’Europe, et plus spécialement de France, de ses talents de portraitiste qu’il mit aussi, et fort heureusement, à profit pour peindre son artiste de femme, Suzanne. Son portrait dit « La dame au voile » est considéré par nos voisins du Nord comme leur Joconde.

Grâce aux doigts légers de Maryse Scorza sur son clavecin, cette nordique Joconde a pu rencontrer l’Enchanteresse de Monsieur Couperin, tandis que Stéphanie Leclef prêtait sa voix aux vers de Maria Eugênia Celso.

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